11 Avril 2010 : Balade CORNELIA DE LANGE
Sortie du dimanche 11 avril (compte-rendu et organisation P.KAEDING)
L’AME vous propose de participer à la ballade organisée par le club LIFFR’EVASION au profit du syndrome CORNELIA DE LANGE. Je vous passe les détails de cette affection : la toile vous donnera toutes les infos nécessaires.
En ce qui nous concerne, c’est avant tout l’occasion de montrer que le monde des motards n’est pas qu’un rassemblement de voyou (quoique j’en connais certains dans l’asso… : suivez mon regard, ils n’ont pas fini le moteur de leur moto…). Nous sommes avant tout des gens responsables, qui ont une passion, qui aime la montrer (non Monsieur le Président, je ne parle pas de ta … monte…), qui aime partager et quelque fois arsouiller un peu.
Pour en revenir à ce qui nous concerne pour le 11 avril, voici ce que je vous propose :
- Rassemblement au « BELLEVUE » à partir de 10H00.
- Départ pour LIFFRE vers 10H30 sur un petit parcours d’environ 50 km environ, dans le calme, sans précipitation comme il se doit.
- Arrivé à LIFFRE, plein de motos pour tous afin d’être prêt pour la ballade.
- On va chez moi pour le pique-nique : possibilité de mettre en route le BBQ si besoin, au pire il y a les plaques cuissons. La maison offre le café et éventuellement le gâteau si Chantal a tous ce qu’il faut pour.
- A 13H40 au plus tard nous sommes partis pour rejoindre le point de départ (environ 2 km… c’est long), régler les 5€ et nous mettre aux ordres du starter.
- Départ de la ballade prévue pour 14H00 pile.
- A l’issue de la ballade, je vous propose un petit café (pour ceux qui veulent) ou autre chose (pour ceux qui veulent aussi).
Ce jour-là, donc, l’AME participe à la ballade au profit de la lutte contre le syndrome CORNELIA DE LANGE.
Dimanche 11 avril, nous sommes 9 motos et 11 motocyclistes (particuliers utilisant une motocyclette à des fins non professionnelles) sont au rendez-vous au BELLEVUE.
Bernard et Martine nous rejoindrons sur place (eux aussi sont motocyclistes 
).
Du coté de M. Météo, la veille il faisait BôéchôÔÔ, en cette journée il fera PACHÔMéBÔ.
Départ programmé à 10H30, en direction de LIFFRE par de petites routes : NOYAL, VERN, CHATEAUGIRON, CHATEAUBOURG LE BOUEXIERE, LIFFRE.
Il était prévu 50 km, nous en faisons 50.8. Comme quoi, bien qu’ayant un peu m …r, pardon rater le sondage DOODLE, je me rattrape au niveau parcours : du moins en distance.
Pour le trajet en lui-même, comme l’a fait remarquer PAA, j’aurai effectivement pu prendre des raccourcis… mais le plaisir n’aurait pas été le même.
Nous faisons le plein pour anticiper tout problème lors de la ballade organisée par LIFFR’EVASION et nous allons pique-niquer « nach Hause » comme on dit prés de chez moi. A cette occasion, Anne, Martine et Chantal (j’espère n’avoir oublié personne) nous ont préparé quelques gâteaux.
13H35, nous rejoignons le point de rassemblement, ou manifestement nous ne sommes ni seuls, ni les derniers.
Il y a de tout et quand j’écris de tout, c’est de tout : depuis certains engins improbables et non qualifiables qui datent d’environ 80 ans avant l’EURO, jusqu’à des CANAM : hybrides entre moto, motoneige.
14H00, nous entamons notre boucle de 100 km, avec un arrêt au pied du château de Fougères.
Alors que sur la première partie le groupe s’est quelque peu scindé, sur la deuxième partie nous sommes quasiment tous groupés.
Sur le parcours, notre président a remarqué que les indigènes locaux avaient quelques mœurs sexuelles troublantes. Voyez avec lui pour les explications : il assume pleinement la responsabilité de ses interprétations.
Au passage, notons que lors de notre montée du matin vers LIFFRE (Eh oui !!! LIFFRE est plus au nord que Noyal/Chatillon. ), nous avons partiellement utilisé le parcours de la ballade CORNELIA DELANGE.
Je passe également sur la mauvaise fois de ma fille qui prétend sans vergogne que j’ai quelque peu roulé trop vite (180km/h d’après elle dans un convoi qui serpentait tranquillement à environ 80 . 
. J’y crois pas… trahi par son propre sang 
).
Arrivé à destination, l’AME sème un peu le b… azard, en sortant du convoi et en entrainant dans notre sillage quelques égarés.
Puis direction encore une fois « nach Hause », pour se réchauffer autour d’un café bien mérité et finir les gâteaux.