Sortie du 6 Juillet 2008 - Penestin
Organisée par Eric
Racontée par Patrick
Erci avait initialement prévu un PaintBall, mais le nombre de participants laissait envisager que deux personnes se battent en duel… Après quelques atermoiements et trois circuits, de respectivement :
- 380 km, 7h 43minutes de conduite (d’après Autoroute 2002…), plus les arrêts techniques… Pourquoi pas ?
- 310 km, 6H10 de conduite (toujours Autoroute 2002), plus les arrêts techniques (je l’ai déjà écrit celle-là…).
- 290 km, 5h 46 minutes (bla, bla, bla).
nous ferons en réalité, 300 km, 5 heures y compris les arrêts. Bien, ça, c’était pour poser le décor.
On reprend du début. Éric, donc, nous propose une petite sortie direction la plage de la Mine d’Or à Pénestin. Départ à 10H15, pique-nique à 12H30. Retour prévu à 18h.
Devinez qui arrive en dernier, mais à l’heure, il faut le préciser… Qui ? Oui je vois un doigt qui se lève au fond de la classe : vous avez la parole… Ach, Koreckt. Das ist bien Éric.
Ses premiers mots en se dirigeant vers moi : « Je n’ai pas changé la batterie, elle fonctionne bien… » Comprenne qui pourra. Pour rappel, Eric est tombé en rade durant les deux dernières balades. Mais c’est plui qui voit. « Par contre, rajoute-t-il, j’ai pas le plein…. :-) 
».
Bref départ 10h20 pour 10h15, c’est une première à l’AME. Nous partons donc tous les cinq équipages, dans l’ordre et la bonne humeur.
Éric sur son APRILIA CAPRICIOSA,
Cédric et Rose-Marie sur une HAYABUSA K8 blanche,
Alexis et Adeline sur une R1 (bleue, mais est ce bien important, la couleur ?… le principal c’est qu’il fasse parti du périple),
Hervé et Sophie sur leur nouvelle 1055, une Anglaise toujours pas finie (non seulement trois cylindres, mais que 200 km au compteur),
Et enfin moi et ma tendre moitié avec qui nous faisons un tout (je sais c’est facile, mais j’ai craqué).
Première étape TREHORENTEUC, 70 km, 1 heure montre en main. Petit arrêt technique, puis direction Malestroit. Il n’ y a que quelques kilomètres à parcourir, mais bon, Éric avait prévu un arrêt à Malestroit, alors… on suit le programme. Alexis s’inquiétant un peu de sa consommation, un troisième arrêt est réalisé quelques minutes après : ça va vite un R1, mais pas longtemps… Du coup Éric en profite pour s’acheter un casse-croûte (il ne l’avait pas encore faite, celle-là).
Je ne m’étendrai pas sur les personnes pressées qui doublent l’ouvreur juste avant qu’il ne change de route (suivez mon regard : fallait y être, comme ça, vous verriez mon regard…), ni sur le tout droit d’un Tiger dont les freins n’était pas encore rodés.
Tout compte fait, c’est super chouette d’être en queue de peloton : on voit toutes les conn… qui se font devant, et personne pour voir les vôtres. C’est un bon plan.
Nous arrivons à Pénestin pour 13 heures.
Pique-nique à l’abri du vent suivi de pique-nique à l’abri de la pluie,
puis petit tour vers la plage.
il vente, il pleut et c’est humide
Aux alentours de 14h, on reprend la route du retour.
Cédric et Rose-Marie devant ouvrir leur restaurant (« Le Nouvelle Orléans », 20 rue St-Malo, à Rennes - un peu de pub au passage ne peut pas faire de mal, surtout qu’on y mange bien. Demandez à Hervé et Sophie, nous y étions ensemble), ils organisent leur retour avec Alexis et Amandine, au plus court.
Nous faisons quelques kilomètres de concert, puis nous prenons nos chemins respectifs.
À la sortie de Saint-Gravé, face aux intempéries qui nous guettent, décision est prise de couper au plus court, mais toujours par de petites routes.
Éric nous invite à prendre un café chez lui, histoire de nous montrer comment il fait bosser sa famille pendant que lui nous ballade…
Au final, une journée sympa, que les « quelques gouttes de pluie n’ont pas gâchée », pendant laquelle Éric a fait d’énormes efforts, surtout pour ce qui concerne les stationnements…
en vrac, mais dans les emplacements…
Par contre, les clignotants… il y a des progrès à faire.
Bonne vacances à ceux qui y sont, à ceux qui y vont et bien des choses aux autres, et surtout une pensée émue pour Christophe qui n’a plus de monture, à Marc qui se remet de sa fracture à la main, au Président, qui, à ce moment là, est dans un lit en Corse, en train de soigner son entorse à la cheville. au lieu de galoper dans les montagnes. Bref, que des éclopés et des malheureux …. 
Prochaine sortie septembre, le 14 si je ne m’abuse, que j’organise conjointement avec notre cher président.
Vous pourrez tout à loisir en profiter pour vous venger de mes commentaires… mais comme c’est moi qui rédige les compte-rendu de ballade…
(Note du Président : le prochain compte-rendu, c’est moi. Vous pourrez donc me faire part de vos commentaires :-))